Dans un premier album, c’est connu, un artiste met toute sa vie, tout ce qui a précédé l’enregistrement, d’une manière consciente ou pas. C’est une étape cruciale. Un dépucelage en règle.
Son titre ? “Party Never Ends”. La fête ne s’arrête jamais. Ce disque, il chante surtout l’amour. Il chante la fragilité et le plaisir, la beauté formelle et celle plus intérieure, les dérives noctambules et les allers-retours sentimentaux.
A seulement 20 ans, Pab The Kid a déjà un parcours pas comme les autres. On pourrait croire à un Anglais qui maîtrise à la perfection la langue française, mais il est bien français, un Ch’ti d’ailleurs ; Il a tellement bourlingué depuis son enfance que ses mots sont polyglottes. Ils passent d’une langue à l’autre naturellement et on comprend alors mieux ses facilités derrière un micro.
Avec son pote James the Prophet ils s’entre-aident, se poussent, s’inspirent et échangent. James ouvre sur la tournée hexagonale de Mos Def et propose à Pab The Kid d’en être. Les deux ont un point commun : cette capacité à rapper dans la langue de Shakespeare avec une aisance déconcertante.
Les premiers followers fidèles sont aujourd’hui une armée. Pab The Kid veut durer, s’installer, en être. Le temps d’un véritable premier album était donc venu, précédé par un nouveau single Breaks (+ Breaks Remix par Mowlo).
PAB THE KID
PRÉSENTE SON 1ER ALBUM
PARTY NEVER ENDS Avec Pascal Legitimus en guest ...
INFORMATION :Propriété intellectuelle. Les idées, le concept, la mise en page, les textes sont protégés, vous pouvez partager par l'interface du blog • Pour toutes demandes uniquement par mailselectionsorties@gmail.com