1 Juillet 2020
Passé cette intro on se retrouve avec une Sara Forestier (capable du meilleur comme du pire) et ici elle n'est pas au meilleur de son interprétation, d'emblée elle crie vocifère s'énerve dans son appartement situé dans une banlieue ou mère de 3 enfants, elle se débat dans son quotidien pour assumer tout ce joli monde ...
On découvre les trois personnages féminins qui vont essayer de vous tenir 1h30 sur votre siège. (j'ai résisté je suis resté jusqu'au bout). Trois femmes obligées de se prostituer en Belgique pour subvenir à leur besoin et faire face à un quotidien morose. Les films sur la prostitution on en a déjà vu pléthore, et franchement je me demande encore pourquoi j'ai été le voir !
D'ailleurs plusieurs fois j'ai été plus que navré pour la charmante Noémie Lvosky en me posant la question, mais qu'est elle allée faire dans cette galère ? La seule scène ou on se prend à sourire et ou on éprouve un tant soit peu de tendresse et de compassion, c'est pour Sergi Lopez, qui fait ce qu'il peut. Les situations s’enchaînent avec une tristesse et je suis extrêmement gentil, j'ai trouvé cela vulgaire, déplacé, insupportable et même pas drôle . En plus vu le sujet, pour un public averti.
Alors qu'il était pourtant mentionné sur l'affiche : FÊTEZ LA RÉOUVERTURE DES CINÉMAS avec ce titre jouant sur l’ambiguïté Filles de joie, j'aurais plutôt envie de dire Tristes Filles.
A éviter ....
FRED
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