OSCAR AND THE WOLF ○ OH BOY

Max Colombie d'Oscar and the Wolf rôde toujours quelque part entre ces émotions familières. C'est ce qui a fait de la superstar belge une véritable rareté parmi ses pairs : un artiste magnétique et fluide, capable d'incarner son "moi" le plus vulnérable et le plus grandiose en un seul instant.

Colombie n'a pas peur d'attaquer un morceau de club euphorique avec des aveux personnels lourds - des contrastes tranchants qui élèvent le corps et l'esprit vers des sensations encore plus fortes. 

Depuis la sortie de son premier album Entity en 2014, Oscar and the Wolf a maintenu cet équilibre bien rodé entre l'obscurité et la lumière - un royaume de poche grésillant de musique de club, de pop avant-gardiste et de R&B sanglant.

Un équilibre fragile qui est finalement devenu la sécurité personnelle de Colombie. Il a permis à un hymne comme Warrior de résonner comme un cri de ralliement pour les masses, même s'il s'agissait en fait d'une introspection profondément personnelle permettant à Colombie de faire face à ses angoisses les plus profondes et les plus sombres. 

Le titre a marqué un saut de foi pour l'artiste, dévoilant les imperfections de la personne sous le spectacle pop. Les dangers de l'excès ne sont pas seulement interrogés en profondeur, mais à certains moments, ils sont revécus avec ardeur.

OSCAR AND THE WOLF ANNONCE

SON NOUVEL ALBUM TASTE

ET DÉVOILE LE CLIP DE OH BOY !

Ce 25 octobre sort son quatrième album TASTE qui fait monter d'un cran la quête de vulnérabilité de Colombie. Cette collection de chansons étire les fortes polarités du projet vers une nouvelle stratosphère ; une chronologie cinématographique d'une lente descente de l'euphorie à la destruction. Nous poursuivons Colombie d'une vue radieuse sur l'océan jusqu'à l'abîme sans fond. Et rien n'est laissé au hasard.

« Il y a les drogues et l'alcool... mais tomber amoureux a le goût le plus doux et le plus dangereux qui soit ».

Max Colombie d'Oscar and the Wolf rôde toujours quelque part entre ces émotions familières. C'est ce qui a fait de la superstar belge une véritable rareté parmi ses pairs : un artiste magnétique et fluide, capable d'incarner son "moi" le plus vulnérable et le plus grandiose en un seul instant.

Colombie n'a pas peur d'attaquer un morceau de club euphorique avec des aveux personnels lourds - des contrastes tranchants qui élèvent le corps et l'esprit vers des sensations encore plus fortes. 

Depuis la sortie de son premier album Entity en 2014, Oscar and the Wolf a maintenu cet équilibre bien rodé entre l'obscurité et la lumière - un royaume de poche grésillant de musique de club, de pop avant-gardiste et de R&B sanglant. Un équilibre fragile qui est finalement devenu la sécurité personnelle de Colombie.

Il a permis à un hymne comme Warrior de résonner comme un cri de ralliement pour les masses, même s'il s'agissait en fait d'une introspection profondément personnelle permettant à Colombie de faire face à ses angoisses les plus profondes et les plus sombres. 

Le titre a marqué un saut de foi pour l'artiste, dévoilant les imperfections de la personne sous le spectacle pop. Les dangers de l'excès ne sont pas seulement interrogés en profondeur, mais à certains moments, ils sont revécus avec ardeur.

Ce 25 octobre sort son quatrième album TASTE qui fait monter d'un cran la quête de vulnérabilité de Colombie. Cette collection de chansons étire les fortes polarités du projet vers une nouvelle stratosphère ; une chronologie cinématographique d'une lente descente de l'euphorie à la destruction. Nous poursuivons Colombie d'une vue radieuse sur l'océan jusqu'à l'abîme sans fond. Et rien n'est laissé au hasard.

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Le 04 octobre, Max a présenté Spill My Liquor, l'acide et l'ultime club banger triste de l'album. Cette chanson traite de la vulnérabilité inhérente au fait d'oser danser, de la façon dont on peut se sentir exposé, ce qui peut déclencher de fortes réactions émotionnelles.

Pour l'artiste, Spill My Liquor est l'essence même d'Oscar and the Wolf : « Être tellement ivre que l'on est triste, et continuer à danser pour oublier. C'est danser avec une larme, danser pour oublier et bouger pour oublier ».

La toxicité s'intensifie et descend dans le le single Oh Boy, où Colombie professe qu'il « en a fini avec la dissimulation ». « Cette chanson est ma confession, ma prise de conscience que j'étais le seul à blâmer. C'est un portrait brut de ma bataille avec mes démons intérieurs, de ma lutte pour trouver un moyen de sortir de l'obscurité ».

Une idée traduite visuellement dans le clip l'accompagnant, sorti le 21 septembre dernier. La chanson fait également partie d'un récit plus large qui comprend des sorties précédentes comme Angel Face, et forme un chapitre crucial dans le voyage de Colombie à travers ses expériences personnelles d'addiction et de lutte pour la santé mentale.

OSCAR AND THE WOLF EN CONCERT

LE 19 FÉVRIER AU TRIANON À PARIS !

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