The Beths ○ Straight Line Was A Lie

  FRANCE 

The Beths, le quatuor néo-zélandais constitué de la chanteuse Elizabeth Stokes, du guitariste Jonathan Pearce, du bassiste Benjamin Sinclair et du batteur Tristan Deck, annonce son nouvel album Straight Line Was A Lie, sur le label ANTI-, qui sortira le 📌 29 août 2025.

Fin avril, The Beths avait dévoilé un premier avant-goût de la nouvelle musique du groupe avec le single Metal, soutenu par Pitchfork, Billboard, The Needle Drop et bien d'autres.

Le groupe avait profité de la sortie de ce single pour annoncer une tournée mondiale en Amérique du Nord, au Royaume-Uni et en Europe cet automne (dont un passage à Paris le 30 septembre).

The Beths connait la futilité des lignes droites. Le vertige existentiel est le thème principal du quatrième album de ces héros de l'indie. The Beths affirme que la seule façon de contourner est de traverser ; que même après avoir vécu des expériences difficiles et transformatrices, on peut toujours avoir l'impression d'être revenu au même endroit.

C'est une chose déconcertante que de réaliser que la vie et le développement personnel sont cycliques et continus. Qu'un chapitre ne se termine pas toujours par la paix et l'acceptation. L'approche consiste simplement à continuer à essayer, à se montrer.

« La progression linéaire est une illusion », explique Elizabeth Stokes. « La vie n'est en réalité que de la maintenance. Mais on peut trouver un sens à cette maintenance. »

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Ce 24 juin, le groupe dévoile également le titre No Joy, dans lequel la chanteuse et compositrice Elizabeth Stokes évoque ses problèmes personnels de santé mentale. Elle évoque les compromis émotionnels, qui tonne avec les percussions vigoureuses de Tristan Deck et laisse échapper une autre phrase sonore classique de The Beths : « This year’s gonna kill me/ Gonna kill me ». Ironiquement, le stress dont parle Stokes ne peut pas l'atteindre, grâce à son régime pharmaceutique.

Elle veut retrouver ce sentiment. « Il s'agit de l'anhédonie qui, paradoxalement, était présente à la fois dans les pires moments de la dépression et lorsque je me sentais plutôt engourdie par mes médicaments », explique Elizabeth Stokes. « Ce n'est pas que j'étais triste, je me sentais plutôt bien. C'est juste que je n'aimais pas les choses que j'aimais. Elles ne me procuraient aucune joie. C'est très littéral. »

THE BETHS EN CONCERT AU TRABENDO À PARIS 

LE 30 SEPTEMBRE 2025 !

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