Littéralement, Lydsten se traduit pierre sonore en danois. Autodidacte, c’est accompagné de ses synthétiseurs analogiques et boîtes à rythmes qu’il essaie de donner vie aux pierres précieuses qu’il choisi pour guider son travail de composition, mélangeant d’une part l’electronica organique et contemplative de Kiasmos ou Christian Löffler et de l’autre des inspirations techno mélodique comme Bicep.
Repéré notamment par le Jardin Electronique ainsi que plusieurs festivals des Hauts-de-France, le français se fait doucement une place dans le paysage des musiques électroniques. Avec Opale, il nous livre un premier single contrasté et plein de couleurs, synthétise l’essence de sa musique.
Un parti pris fort qui pousse le piano comme un élément central sur une production aux sonorités plus électroniques, qui mélange les genres et recherche une forme de simplicité.
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