Daithí O’Dronaí est un producteur et multi-instrumentiste irlandais qui entretient une fascination de longue date avec les sons et samples organiques.
Sur scène, Daithí est rapidement devenu une référence en termes d’expérience live, s’illustrant avec des éléments singuliers tels que le violon - un hommage à son héritage traditionnel irlandais - aux côtés d’un casting de musiciens talentueux qui subliment des chansons taillées pour des salles aux dimensions panoramiques.
Baigné de musique électronique, le son de Daithí s’est enrichi, évoluant du témoignage historique de la culture irlandaise revue sous le prisme contemporain, pour se parer de textures luxueuses, entre deep house et arrangements plus ambiants ; un univers porté par ses narrations instrumentales, des visuels fascinants et les contributions poignantes des intervenants vocaux.
I’m Here Now à paraître le 📌 9 septembre sur Strange Brew est autant la culmination du chemin débuté il y a déjà quelques années, que le commencement d’un nouveau chapitre plus audacieux à l’identité visuelle plus affirmée. “Je me sens plus connecté que jamais à mes origines” confie Daithí. “Tant de ces facettes ont inspiré ma musique - ma signature artistique a toujours été de prendre des éléments de culture, d’histoire et de les mélanger au plus personnel - pour mettre en musique les différentes parties de ma vie, en cherchant à explorer les différentes parties de moi-même, je me devais de revisiter ces endroits et ces personnes, car je ne suis que la somme de ces parties à cet instant”.
Un sentiment qui trouve un écho notable dans la musique de Daithí, une collision tout en douceur entre son talent narratif, sa capacité à réimaginer le monde autour de lui et cette aisance avec laquelle il parvient à inviter dans son univers tous ceux qui souhaiteraient s’y échapper.
“Lorsque vous acceptez de ne plus contrôler tous les petits détails de votre vie, vous réalisez que la musique peut répondre à vos interrogations et en appeler d’autres tout aussi intrigantes - En voilà toute la beauté.” Daithí